Former et étudier avec le numérique dans le supérieur

Mois : octobre 2023

Une étude de cas relookée

Petit rappel de l’épisode précédent : la semaine dernière, je vous ai proposé une étude de cas très basique, avec un énoncé ne mentionnant que les éléments de contexte strictement nécessaires au traitement des questions posées, et deux personnages “fantômes” : une étudiante ayant besoin d’améliorer sa prise de notes et un enseignant d’Introduction au droit.

Suite à notre travail, l’étudiante a pris vie. Elle s’appelle Manon, et nous avons bâti une fiche persona pour bien la visualiser.

Aujourd’hui, il nous reste deux missions à accomplir pour livrer notre produit fini : 

  • Construire la fiche persona de l’enseignant de Manon ;
  • Rédiger l’énoncé final.

C’est parti !

Julien Lemoine, maître de conférences en droit

Notre étudiante est travailleuse, sérieuse et elle veut bien faire. Je rappelle  en passant pour ceux qui qualifieraient ironiquement ces caractéristiques de peu représentatives de la réalité du terrain que le cours est optionnel. On peut donc légitimement penser que ceux qui le suivent veulent améliorer leurs performances 😉 ! 

Notre étudiante étant donc sérieuse, on pourrait être tenté de forcer le trait en prêtant au prof les pires défauts d’un orateur au regard de la prise de notes de l’auditoire… mais on aurait tort ! Pour être réaliste, il ne faut pas tomber dans la caricature. Par ailleurs, il faut que l’apprenant comprenne bien que c’est Manon qui a un problème et qu’elle doit/peut s’améliorer. Elle ne peut pas rejeter la responsabilité de son incapacité à prendre des notes sur l’enseignant. Ce serait trop facile !

Donc non, notre prof ne sera pas vieux, laid, aigri, agressif, adoptant un rythme et un ton destiné à perdre les étudiants ! On va plutôt opter pour quelqu’un de relativement jeune et plutôt cool. 

Donnons vie à Julien !

Passons à la fiche persona de Julien.

Ici, pas besoin de parler du problème de notre persona, car ce n’est pas le sujet de l’étude de cas, mais juste un personnage secondaire. Sa description pourra être plus légère que celle de Manon. N’oublions cependant pas qu’il pourra nous servir dans un autre cours de méthodologie. Il nous faut donc suffisamment d’informations le concernant pour bien l’imaginer, même si dans ce cas précis, les apprenants n’auront besoin que de peu d’éléments.

Maintenant que nous avons nos personnages, nous allons pouvoir remanier l’énoncé et les annexes. Et n’oubliez pas : la fiche persona est un outil de travail, pas un document que vous allez remettre tel quel à vos apprenants !

Étude de cas nouvelle formule

L’énoncé

Depuis que vous avez rencontré Manon en seconde, vous êtes impressionné par son sérieux et son volontarisme. Toujours dans la tête de classe tout en ayant une vie à côté, Manon est quelqu’un de solide qui sait relever les défis ! Après son bac, elle s’est engagée dans des études de droit. Elle savait à quoi s’attendre en ce qui concerne le volume de travail – son père, avocat, lui avait clairement exposé les challenges – et elle vous parle de son souhait de devenir avocate depuis que vous la connaissez.

Pourtant, là, c’est un peu la panique, et l’indestructible Manon semble baisser les bras… 

Pourquoi ? Manon n’arrive pas à suivre les cours magistraux ! Plus précisément, elle n’arrive pas à prendre des notes parce que ça va trop vite pour elle et, du coup, elle est sans arrêt perdue.

Jusqu’à présent, Manon a été une amie sur laquelle vous pouviez compter. Maintenant, c’est elle qui a besoin de vous !

Vous avez demandé à Manon de vous apporter des notes qu’elle a prises en cours. Elle a choisi le cours d’intro au droit.

 

Le prof, Monsieur Lemoine, est sympa, mais il parle vite et elle l’a trouvé un peu nerveux lors des deux dernières séances. Au tout début de l’année, il répétait ou ralentissait quand on le lui demandait, mais au dernier cours, il a clairement dit qu’il était temps de commencer à s’adapter aux études supérieures…

Manon vient vous voir pour vous demander un coup de main.

C’est cool que tu sois dispo pour m’aider ! J’ai pas trop envie de demander conseil à mes parents. Ma mère m’a toujours dit que je n’avais pas de méthode dans mon travail, alors je n’ai pas envie d’entendre ça une fois de plus…

Comme tu me l’a demandé, je t’ai apporté les dernières notes que j’ai prises… enfin que j’ai essayé de prendre. Qu’est-ce que tu en penses ?

Mission 1: ce qui cloche dans les notes de Manon

Après avoir analysé les deux pages fournies en annexes (document brut, non remanié), repérez les défauts de ces notes et expliquez ce qui ne va pas à Manon (adoptez la forme d’une liste à puces).

Mission 2 : quelques conseils de base pour Manon

En vous basant exclusivement sur ce document, quels conseils pouvez-vous donner à Manon pour améliorer sa prise de notes ?

Mission 3 : une “interview” pour en savoir plus

Listez les questions que vous posez à Manon pour identifier des difficultés qui n’apparaîtraient pas dans le document.

Mission 4 : un exemple à suivre

Vous accompagnez Manon lors de la première partie du cours suivant pour la coacher. Écoutez l’enregistrement audio qui vous est proposé et montrez à Manon comment vous effectuez votre prise de notes pour lui donner un exemple concret.

Les annexes

  • Extrait des notes de Manon
  • Extrait audio d’un cours d’introduction au droit

 

Cette proposition est une suggestion de base. Il est, par exemple, possible d’aller plus loin dans la narration en ajoutant des informations et interventions de Manon entre les missions. Dans ce cas, cela ne se justifiait pas, car le cas est court, mais ce serait intéressant – voire indispensable – sur un cas plus long.

Et cette démarche est applicable avec des documents type photocopies ou pdf, comme ici, comme dans le cadre d’un contenu numérique interactif.

 

Un peu plus d’engagement pour les apprenants avec un simple relooking : ça vaut le coup, non ?

 

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Manon, héroïne d’une étude de cas de méthodologie du travail universitaire

Étude de cas saison 2 – Épisode 2 : on va s’attaquer à une étude de cas “classique” pour améliorer son potentiel grace au développement des personnages. 

Le contexte

 

Niveau 1ère année d’études supérieures
Module Méthodologie du travail universitaire
Modalités Présentiel – Approche inductive => études de cas fil rouge – Travaux Dirigés
Thème Savoir prendre des notes
Objectifs pédagogiques
  • Sélectionner les informations pertinentes d’un discours
  • Utiliser efficacement les abréviations 
  • Distinguer prise de notes et remaniement des notes

L’énoncé originel

Manon est en première année de droit. Elle a beaucoup de mal à prendre des notes pendant le cours, parce que ça va trop vite pour elle. Le prof a clairement prévenu qu’il ne fallait pas l’interrompre. Manon vous montre les notes qu’elle a prises aujourd’hui en introduction au droit.

  1. Après avoir analysé les deux pages fournies en annexe (document brut, non remanié), repérez les défauts de ces notes. 
  2. En vous basant exclusivement sur ce document, quels conseils pouvez-vous donner Manon pour améliorer sa prise de notes ?
  3. Quelles questions allez-vous poser à Manon pour identifier des difficultés qui n’apparaitraient pas dans le document ?
  4. Vous accompagnez Manon lors de la première partie du cours suivant pour la coacher. Écoutez l’enregistrement audio qui vous est proposé et montrez à Manon comment vous effectuez votre prise de notes pour lui donner un exemple concret.

Le challenge

Un problème de terrain à résoudre en cas fil rouge plutôt qu’une approche transmissive, c’est déjà un bon point de départ pour susciter l’engagement. Mais l’énoncé est un peu froid… Notre objectif : améliorer le stotytelling et, surtout, les personnages.

Quels personnages peut-on décrire ici pour donner envie de traiter le cas ?

Manon, bien sûr. On va essayer de mieux comprendre ses problèmes et de trouver des points faisant écho à des difficultés rencontrées par nos propres apprenants.

Mais le prof qui a fait le cours n’est pas à négliger pour renforcer l’immersion. Ce sera pour la semaine prochaine 😉 ! 

On commence donc avec Manon.

Donner vie à Manon

J’ai complété la fiche persona de Manon (voir article Donner vie à un personnage réaliste pour pimper une étude de cas) en demandant au passage un petit coup de main à Google Bard pour les parties biographie, objectifs, activités, et personnalité et valeurs.

Le résultat était intéressant, mais un peu convenu, fade et insuffisamment développé. Je me suis servi de la fiche produite par Bard comme point de départ, en apportant des améliorations de fond et de forme.

J’ai gardé intégralement pour moi la description du problème de l’étudiante, le choix de ses prénom / nom et de sa photo (générée avec https://thispersondoesnotexist.com/).

La fiche persona de Manon

C’est tout pour aujourd’hui !

La semaine prochaine, je vous proposerais la fiche persona du prof de droit de Manon et une réécriture de l’énoncé du cas.

Stay tuned!

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Donner vie à un personnage réaliste pour pimper une étude de cas

Quand une étude de cas est utilisée comme épreuve d’examen, susciter l’engagement de l’apprenant est une préoccupation secondaire. De toute façon, il est captif ! Mais quand le cas est au cœur de l’apprentissage, par exemple dans le cadre d’une pédagogie par projet, lui donner envie de traiter le travail est essentiel pour garantir son implication !

Dans mon dernier article sur l’étude de cas, j’avais partagé cinq conseils pour un cas réussi parmi lesquels “Créez un roman pédagogique clair, réaliste et immersif”. 

Aujourd’hui, on s’intéresse à un élément clé du roman : ses personnages !

Pourquoi étoffer les personnages ?

Que sait-on, en règle générale, des personnes que l’on est censé aider à résoudre un problème dans le cadre d’une étude de cas ? Pas grand chose… Leur nom – très souvent un vilain jeu de mot façon Monsieur et Madame X ont un fils/une fille… – et les informations indispensables pour pouvoir traiter le cas. Fin de l’histoire. Est-ce que ça donne envie de les aider ? Pas vraiment.

Donner un peu d’épaisseur au personnage va permettre de jouer sur l’identification ou l’empathie qu’il va provoquer chez l’apprenant, pour lui donner envie de résoudre son problème.

Construire une fiche de présentation

Il ne s’agit pas cependant de passer trop de temps à bâtir nos personnages !

L’idée va être ici de transposer la technique des personas pour « industrialiser » notre processus de création et travailler plus rapidement.

De quoi s’agit-il ? Dans certains domaines, comme le marketing, l’UX design… on crée des archétypes représentant les cibles du message ou du produit. Cela permet de concevoir quelque chose qui réponde au besoin de l’utilisateur, dont on identifie clairement les spécificités, motivations et contraintes. Sauf qu’ici, ce n’est pas l’audience de notre formation, mais le sujet de l’étude que l’on va décrire au moyen d’une fiche persona.

Une proposition de format

Petite remarque concernant la photo : c’est un élément très important pour donner vie au personnage. Je vous recommande l’utilisation de ce site pour générer gratuitement de fausses photos d’identité : https://thispersondoesnotexist.com/. La technique ? Rafraîchir la page jusqu’à trouver son bonheur.

Quels critères de choix pour les caractéristiques du personnage ?

L’audience

Si votre formation porte sur des soft skills, de la méthodologie… Il est logique d’avoir des sujets d’étude de cas correspondant à l’audience. Par exemple, s’il s’agit d’apprendre à des étudiants à faire leur CV, les personnages seront des étudiants, et si l’on s’adresse à un public d’adultes en reconversion professionnelle, ce seront… des adultes en reconversion ! Dans ce cas, on recherchera une identification des apprenants au personnage, pour favoriser la transposition de la solution proposée à leur propre cas.

Le thème

Le personnage doit être crédible en tant que sujet de la formation, même s’il s’écarte de la composition de l’audience.  Ainsi, dans une formation de comptabilité agricole, le personnage devra être agriculteur/trice et un avoir un âge plausible au regard de la gestion d’une exploitation, même si les apprenants sont des jeunes vivant en milieu urbain.  Dans cette configuration, on jouera davantage sur l’empathie que sur l’identification pour susciter l’intérêt du public.

Le réalisme

Photo, prénom, biographie, objectifs, loisirs… Tous les éléments proposés doivent paraître sortis de la “vraie vie” et être cohérents entre eux. Même si les personnages ne doivent pas devenir une moyenne au point qu’ils en perdent toute épaisseur, il vaut mieux éviter de créer des ovnis.

Des sources d’inspiration ? La famille, les amis, les médias… et les réseaux sociaux !

Quel degré de détail ?

Le challenge : trouver la bonne balance pour que le personnage ait suffisamment d’existence sans noyer l’apprenant sous des détails insignifiants qui peuvent détourner son attention du travail à accomplir. Pour ça, pas de recette miracle : c’est une question d’appréciation. Mais attention ! Vous n’êtes pas obligé de donner toutes les informations d’un bloc ! Votre fiche persona est un outil de travail pour vous, pas un document destiné à être fourni tel quel à l’apprenant. Ces infos, vous allez pouvoir les distiller au fur et à mesure de l’avancement du cas, voire en garder sous le coude pour plus tard, si ce persona devient un personnage récurrent de vos scénarios pédagogiques.

 

Personnellement, je trouve cet exercice très amusant, mais si vous manquez un peu d’imagination – ou pour gagner encore plus de temps – Chat GPT ou Bard pourront vous apporter une aide précieuse  😉 !

Adopter les MOOCs pour se former et s’inspirer

Je suis une inconditionnelle des plateformes de MOOCs depuis que j’ai mis le nez dedans en 2013.

À l’époque, Coursera m’a permis de : 

  • monter en compétences dans des domaines connexes aux miens ou totalement nouveaux ;
  • confirmer mon goût pour le e-learning ;
  • me remettre sérieusement à l’anglais.

Depuis, il ne se passe pas un an sans que je suive tout ou partie d’une formation par ce biais. Pourquoi ? Toujours acquérir de nouvelles compétences, bien sûr, mais pas uniquement !

En effet, les MOOCs sont également une source d’inspiration quant aux méthodes pédagogiques mises en œuvre et aux différentes activités proposées. 

Petit rappel : qu’est-ce qu’un MOOC ?

MOOC signifie Massive Open Online Course. Il s’agit de cours proposés sur le web, sans limitation quant au nombre de participants. Tout le monde peut s’y inscrire sans condition spécifique. À noter que si ces cours étaient originellement offerts gratuitement, on est maintenant, comme dans beaucoup d’autres domaines, sur le modèle du freemium.

Ces cours sont généralement structurés en semaines qui correspondent à des thèmes, et sont composés de vidéos, lectures, quiz en correction automatique, activités évaluées automatiquement ou par les pairs, forums de discussions.

Les plateformes historiques internationales – qui ont ma préférence – fonctionnent en entrée continue et s’adaptent au rythme des apprenants, qui peuvent prendre de l’avance sur une semaine et accéder au matériau pédagogique suivant, ou terminer plus tard que prévu  en cas de besoin.

Interactivité et social learning

L’aspect interactif est, de moins point de vue, extrêmement important. Cette interactivité est obtenue avec le feed-back automatique, mais également avec les pairs et l’équipe enseignante (dans une moindre mesure). Social learning en complément des autres approches pédagogiques, donc ! Bien entendu, cet aspect social contribue à créer un sentiment de présence pour des apprenants qui sont très volatiles (le taux d’abandon est extrêmement élevé dans les MOOCs)… mais c’est aussi une belle source d’idées de débats, discussions à transposer à des séances en présentiel que l’on doit animer 😉.

Mes trois plateformes généralistes préférées

Coursera

Fondée en 2012 par deux professeurs de l’université de Stanford, elle propose aujourd’hui plus de 4000 cours. Si la plupart des enseignements sont en anglais, l’option de traduction en français est accessible pour une majorité de cours.

EdX

Fondée en 2012 également par des scientifiques du MIT et d’Harvard. Elle propose plus de 4000 cours, dont 112 en Français.

FutureLearn 

Et, une troisième fois, naissance en 2012, pour LA plateforme de MOOCs britannique. Non-anglophones s’abstenir, car les cours ne sont proposés qu’en anglais. Par contre, avis aux enseignants et formateurs : le sujet de la formation est très largement couvert. Ici, le social learning n’est pas juste un ajout, mais la modalité pédagogique phare. Une très bonne plateforme si vous voulez échanger sur vos pratiques !

 

Alors, vous allez me dire que nous sommes en France et que je pourrais bien citer des plateformes françaises dans ma liste, quand même !

  • Pourquoi pas OpenClassrooms ? Parce que l’interactivité se limite à quelques quiz et qu’il n’y a aucune communication entre pairs pour qui n’est pas inscrit à un cours payant.
  • Pourquoi pas Fun Mooc ? Parce que la plupart des cours ont une date de début et une date de fin fixes et que les sessions ne se succèdent pas, ce qui va à l’encontre de la flexibilité permise par le format MOOC. 

Dommage dans les deux cas…

Comment ça marche ?

Si tous les cours ne sont pas proposés en version gratuite, il y a quand même un choix plutôt vaste ! Après, cela vaut souvent le coup de monter sur la version payante pour débloquer toutes les fonctionnalités du cours (activités évaluées, accès illimité au matériau pédagogique…) et obtenir un certificat, car les tarifs sont modiques (45€, par exemple, sur Coursera).

Les cours peuvent aller de quelques semaines à quelques mois, et le volume hebdomadaire de travail à prévoir est également variable. Toutes ces informations figurent sur la présentation du cours – que vous devez lire avec attention avant de vous engager.

Toutes les plateformes vous proposent également des parcours de plusieurs cours. Les formules sont très variées et vont jusqu’à la possibilité d’obtenir un certificat délivré par une université vous donnant des crédits pour poursuivre vos études dans l’établissement qui l’a délivré. C’est le cas des MicroMasters d’EdX. Là, évidemment les coûts ne sont pas les mêmes, mais cela reste très bas comparé à la formation continue en France !

 

Quelques conseils, pour conclure, dans le choix de vos MOOCs : 

  • comparez les durées, objectifs pédagogiques, structures, contenus, avis d’apprenants… de plusieurs cours sur différentes plateformes avant de faire un choix ;
  • regardez bien la date de création/mise à jour : certains cours peuvent être un peu datés. Outre le problème d’obsolescence, il s’agit parfois de cours peu fréquentés dans lesquels vous pourrez vous retrouver sans pairs pour évaluer votre travail… et donc bloqué ;
  • commencez à suivre le cours gratuitement pour tester, avant de basculer, éventuellement , sur la version payante ;
  • n’hésitez pas à abandonner rapidement si le cours ne correspond pas à vos besoins !